5 recettes délicieuses avec des restes de poulet
Le doux parfum de la dinde ou du poulet rôti se répand dans votre cuisine et fait la joie de vos invités. Sauf que le lendemain, vous vous retrouvez souvent avec beaucoup de blanc en trop. Ne le jetez surtout pas. Il est possible de le réutiliser sous forme dedélicieux petits plats.La preuve en 5 recettes !
Poulet : il contient des vitamines, acides aminés et protéines indispensables à votre santé
Le poulet est une des viandesles plus maigres. Il contient en effet seulement 5 % de graisses, à condition de ne pas manger sa peau, qui elle est riche en graisses saturées.
Cette volaille est également pauvre en sodium (c’est-à-dire en sel) avec seulement 70 mg pour 100 g de viande.
Autre avantage nutritionnel : sa richesse en protéines (environ 30 %), indispensables pour former, réparer et maintenir l’intégrité des tissus comme la peau, les muscles et les os.
En outre, le poulet renferme neuf acides aminés essentiels à l’organisme (le tryptophane, la lysine, la méthionine, la phénylalanine, la thréonine, la valine, la leucine, l'isoleucine et l'histidine, ndlr). N’étant pas fabriqués par l’organisme, ces acides aminés essentiels doivent nécessairement provenir de l'alimentation.
Mais la viande de poule n'est pas uniquement une source de protéines et d'acides aminés.
C'est aussi une source importante de vitamine B3 (niacine) qui participe à la production d’énergie, mais également à la formation d’ADN.
La poule apporte également de la vitamine B6, qui entre dans le processus de régulation et de construction des tissus, et de la vitamine B5, utile pour le renouvellement de la peau et des cheveux.
Cette volaille contient aussi de la vitamine B2 (ou riboflavine) qui participe entre autres à la production d’énergie, à la restauration des cellules et à la fabrication d’hématies (globules rouges).
Enfin, elle contient également une grande quantité de phosphore, de zinc de sélénium, et du fer.
Consommer du poulet, c'est-à-dire une viande peu riche en gras saturés, entraîne également une amélioration des taux de lipides sanguins, ce qui aide à prévenir l'apparition de maladies cardiovasculaires.
Comment choisir son poulet ?
Choisir un bon poulet, qu'il soit entier ou découpé, n'est pas chose facile. Il en existe plusieurs sortes - et de plusieurs couleurs (blanc ou jaune) dont le prix et la qualité varient énormément.
Toutefois, le conseil numéro 1 à suivre est de ne pas prendre le moins cher. Il s'agira en effetd'unpoulet élevé en batterie, nourri aux céréales (dans le meilleur des cas), auxOGM,et auxfarines animalesplus que douteuses.
Les industriels lui donnent également beaucoup de matières grasses pour qu’il devienne vite gros et grand. Le but étant de l’abattre sous 40 jours. Cette croissance "express" n'est pas sans conséquences : elle entraîne de nombreuses maladies chez les volailles, qui sont ensuite traitées avec des antibiotiques.
En outre, en choisissant un poulet de mauvaise qualité, sachez qu'il n’aura jamais gambadé ni vu la lumière du jour.
Bonne nouvelle cependant : il est tout à fait possible d'éviter tout cela en prenant garde à quelques critères.
Pour ce faire, sélectionnez toujours des poulets fermiers de type "Label Rouge", certifiés "bio" ou "AOC". Ces 3 labels sont des gages de qualité.
Autres points importants :